L’anulingus, ce baiser intime réservé à l’anus, suscite à la fois fantasmes, questions et envies secrètes. Pratique autrefois taboue, elle fait aujourd’hui frissonner tous les couples audacieux et amants curieux – et les femmes qui aiment choisir, guider, et se faire adorer sur les sites de rencontres coquines. Cet article propose un voyage sensuel et ludique à travers l’art de l’anulingus : plaisir, préparation, techniques, sécurité et astuces décalées pour découvrir ou sublimer le jeu de la langue interdite.
Retrouvez des témoignages, les secrets pour “Comment faire un anulingus” divin, une FAQ détaillée en fin d’article, ainsi que des liens utiles pour approfondir ce thème délicieux.
Anulingus : Quand le tabou devient caresse addictive 😈
Anulingus : tout savoir sur le plaisir anal qui fait vibrer les couples
Longtemps ignoré dans les manuels du plaisir, l’anulingus s’invite désormais en bonne place dans la panoplie des pratiques sensuelles. Lécher l’anus de l’autre, c’est s’aventurer « là où les langues se délient et où les tabous s’effacent ». Pourquoi cet engouement croissant ? Parce que la zone anale, riche en terminaisons nerveuses, s’avère être une mine d’or pour qui ose s’y abandonner.
Pourquoi l’anulingus excite autant ?
Le plaisir anal n’est ni un mythe, ni une “mode” passagère. L’anulingus offre une tension érotique unique, où s’entremêlent abandon, interdiction, délicatesse et domination douce. La sensation ultra-localisée de la langue, les premiers frissons, la confiance nécessaire… tout participe à faire décoller les amateurs de nouvelles expériences.
« Avant, je n’osais jamais en parler à mes partenaires. Le jour où j’ai découvert la douceur et le pouvoir de la langue sur cette zone, j’ai compris que l’anulingus pouvait déclencher chez moi des orgasmes inédits. Je ne pourrais plus m’en passer ! »
— Chloé, 37 ans
Le plaisir sensuel et libérateur d’une langue espiègle
L’expérience du “cunnilingus anal” n’est jamais la même entre deux partenaires. Certaines femmes la découvrent tardivement, sur un site de rencontres coquin, avec un amant curieux ; d’autres l’explorent instinctivement, lors d’un jeu bucco-génital sans script.
L’anulingus, ce n’est pas “sale”, ni limité aux pratiques gays ou fétichistes. Il se vit en couple, entre femmes, hommes, trans ou non-binaires : l’essentiel, c’est l’envie partagée et le plaisir de se faire plaisir, tout simplement.
“Comment faire un anulingus et sublimer le plaisir anal ?”
De l’enjeu psychologique à l’excitation pure
La jouissance procurée par l’anulingus tient autant à la stimulation physique qu’à la charge symbolique de l’interdit. Offrir ou recevoir cette caresse, c’est accepter d’être regardé.e, vulnérable, adoré.e et désiré.e jusqu’au bout du corps.
Ce rapport de confiance, d’audace et d’abandon démultiplie le plaisir et rend chaque baiser anal inoubliable.
Comment faire un anulingus : Guide pratique étape par étape
1. Hygiène : la règle d’or
Impossible de faire l’impasse : une toilette soigneuse est gage de détente. Un lavage délicat et un rinçage au savon au pH neutre, l’usage (optionnel) d’une petite poire à lavement ou de lingettes intimes, et voilà la scène prête pour la dégustation sensorielle.
Pour aller plus loin, consultez les astuces d’hygiène sur passion-plaisir.fr.
2. Prendre la posture parfaite
Libre à chacun·e de choisir sa position : à quatre pattes pour le côté animal, allongé·e sur le dos jambes relevées pour offrir l’accès royal, ou debout contre un mur pour les plus téméraires. L’important, c’est la détente et la facilité d’accès, parfois aidée d’un coussin bien placé.
3. Démarrer tout doucement…
Commencez par des baisers sur les fesses, soufflez chaud, titillez sans brusquer. La langue s’invite alors, timidement : petits cercles, effleurements, contacts fugitifs. Ce préambule apaise, détend et décuple le désir.
4. Intensifier et varier
Quand la relaxation s’installe, le jeu peut devenir plus appuyé : langue vibrante, pointes appuyées, succion, allée et venue en profondeur… Avec le doigt habillé d’un doigtier ou gant, pourquoi pas ? Laissez la complicité guider l’intensité.
5. Accessoires et créativité 😋
Un lubrifiant saveur fraise, un plug inséré avant l’anulingus, une bague vibrante déposée autour de l’anus… La créativité n’a de limite que votre confiance mutuelle.
« Mon amant m’a préparée toute la soirée : baisers, caresses, puis soudain sa langue… je me suis sentie reine. L’abandon que cela m’a procuré restera mon plus grand souvenir charnel. »
— Elise, 42 ans
Tableau comparatif : Préliminaires buccaux
Pratique | Sensations (receveur) | Niveau de Tabou | Idéal pour… |
---|---|---|---|
Cunnilingus | Suave, apaisant | Faible | Se détendre, prélude |
Fellation | Puissant, stimulant | Faible | Jeu de pouvoir |
Anulingus | Extrême, électrisant 😈 | Élevé | Oser, s’abandonner |
L’anulingus comme prélude à la sodomie
Bien plus qu’un simple jeu, l’anulingus prépare merveilleusement la zone à une future pénétration anale. Sous l’effet des caresses et de la langue, les muscles se relâchent, les peurs fondent, le désir monte en puissance.
Ce rituel pourrait bien devenir votre passage obligé vers une sodomie lente, confortable et jouissive.
Pour tout savoir sur la préparation à la sodomie, lisez les conseils spécialisés sur charlie-liveshow.com.
« Mon premier anulingus a été le déclic. Plus aucune appréhension avant la sodomie, et l’assurance d’un plaisir totalement décomplexé. Aujourd’hui, j’en redemande ! » — Julie, 35 ans
“Plaisir, complicité et érotisme : pourquoi toutes les femmes devraient oser l’anulingus ?”
Un plaisir aussi pour celui/celle qui donne !
Le ou la “donneur.se” en profite tout autant. Bouche collée à la peau, son, odeur, regard, réactions… On regarde l’autre se perdre, on se nourrit sensoriellement de son plaisir.
Il y a aussi l’aspect dominé/dominant, inévitablement érotique. Offrir sa bouche, c’est assumer (ou prendre) le contrôle.
« Voir mon copain geindre sous ma langue, la tête enfouie dans son oreiller… rien de plus excitant pour moi. Je me sens toute-puissante et ultra-féminine. »
— Cindy, 29 ans
Les conseils pour s’y initier sans prise de tête 🫦
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La communication avant tout : Parlez-en ouvertement, soyez complices dans l’échange de fantasmes.
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Essayez seul·e d’abord : Explorez sous la douche, découvrez vos réactions.
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Allez-y par étapes : Baisers, souffle, coups de langue, doigt si l’envie s’installe.
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Restez connectés : Un mot, un geste, le langage des corps guide la montée du plaisir.
FAQ – Tout ce que vous n’osez pas demander sur l’anulingus
1. L’anulingus est-il vraiment sans risque ?
Avec une hygiène impeccable et quelques précautions simples (éviter toute lésion, ongles nets, éventuellement protège-dents), il est très sûr et très excitant.
2. Comment surmonter l’appréhension avant d’essayer ?
En parler, exprimer vos limites, tester seul·e, débuter doucement. Le cerveau a besoin de se déconnecter du tabou, puis l’excitation prend le relais.
3. Peut-on lier anulingus et sextoys ?
Oui ! Plug, vibro, ou accessoires saveur… tout est possible, pourvu que le jeu soit partagé.
4. Quelle est la meilleure position ?
À quatre pattes, sur le dos jambes relevées, ou debout. Le secret : être détendu·e, offrir la zone sans crispation.
5. Comment gérer si le/la partenaire hésite ?
Suggérez une découverte commune sans pression. Lisez, partagez vos envies, lancez un défi complice.
6. L’anulingus est-il réservé à un type de couple ?
Absolument pas ! Tout le monde peut en retirer du plaisir, seul·e prérequis : l’envie et le respect.
Des anecdotes pour commencer à frissonner
« La première fois, c’est moi qui l’ai proposé. Je voulais explorer, sentir différemment le plaisir… Quand il a osé descendre entre mes fesses, souffle chaud, langue qui danse, j’ai senti mon bassin tout entier s’ouvrir. C’était doux, puis de plus en plus intense… J’ai joui d’une manière totalement différente, avec un sentiment de confiance rare. »
— Sabrina, 34 ans. Au féminin
« Ma copine est une vraie aventurière du plaisir : j’ai eu la surprise de découvrir à quel point donner pouvait être aussi excitant. Voir son dos cambré, entendre ses petits gémissements pendant que je la léchais… J’ai adoré la sentir se détendre, puis se faire plus exigeante, me diriger délicatement du bout des doigts. Je n’avais jamais ressenti une telle fierté de la faire jouir. »
— Florian, 28 ans. Loveandvibes
« Au début, je n’étais pas spécialement attirée par l’idée. Et puis c’est devenu un jeu entre nous : je lui offre la douche, il me savonne, je me sens propre et prête. Ensuite, je m’allonge, il place un coussin sous mes hanches, et il prend son temps pour explorer. Ce côté rituel, presque cérémoniel, rend la chose hyper sensuelle. Il y a une vraie montée d’adrénaline, c’est addictif et incroyablement intime. »
— Léna, 41 ans.
« C’est venu par surprise, lors d’un cunni. Il a effleuré ma peau, glissé sa langue plus bas, et peu à peu, il m’a offert mon premier orgasme anal. Je ne croyais pas possible ce genre de déferlante de plaisir ! Depuis, l’anulingus est notre préliminaire préféré avant la sodomie. Ça change tout : moins de crispation, beaucoup plus de confiance, de complicité et de sensations. »
— Jenny, 36 ans. Union Magazine
« Je pensais que ce serait uniquement pour lui faire plaisir, mais le fait d’être celle qui donne me procure un drôle de plaisir de contrôle… Quand il gémit, que je sens tout son corps frémir sous ma langue, j’avoue que ça m’excite au plus haut point ! Il y a un côté domination dans l’anulingus, comme si je tenais son plaisir au bout de mes lèvres. »
— Carole, 39 ans.