Angell Summers : de la scène anal aux conseils sexuels, le parcours sans filtres d’une ex-étoile du X
Angell Summers, née le 29 mai 1987 à Chartres, est une ancienne actrice pornographique française qui a marqué l’industrie entre 2008 et 2013. Reconnaissable à sa polyvalence physique (cheveux changeants, yeux noisette et silhouette athlétique), elle a tourné plus de 60 films 1, se spécialisant dans l’anal, le BDSM et les scènes de gangbang 7. Lauréate du Hot d’Or de la Meilleure starlette française en 2009 et du Television X Shafta Awards en 2011 1, elle a collaboré avec des réalisateurs emblématiques comme John B. Root et Marc Dorcel. Après sa retraite du X, elle s’est reconvertie en coach en sexualité et chroniqueuse, valorisant l’éducation sexuelle. Cet article explore sa carrière, ses films cultes, et sa vie post-X, entre anecdotes et fiction ludique.
Tableau synthétique : Carrière et caractéristiques
Aspect | Détails |
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Nom de scène | Angell Summers (alias Angel Summer, Angel Summers) 7 |
Activité | 2008-2013 (performeur), 2013 (réalisation) 7 |
Nombre de films | 60+ 1 |
Spécialités | Anal, DP (double pénétration), BDSM, gangbang 7 |
Mesures | 34C-25-36 (86-64-91 cm), 163 cm, 53 kg 7 |
Prix | Hot d’Or 2009, Television X Shafta Awards 2011 1 |
Reconversion | Coach en sexualité (2013-présent) 1 |
Biographie complète : Angell Summers, une étoile filante du X
Carrière et spécialités
Angell Summers débute en 2008 après une brève carrière de mannequin photo et strip-teaseuse. Sa première scène hard est tournée sous la direction de Christian Lavil dans Blanche, Alice, Sandy et les autres. Rapidement, elle se distingue par sa plastique avantageuse (1,63 m, mesures 34C-25-36) et sa capacité à enchaîner les scènes techniques (anal, double pénétration, fisting). Elle travaille avec des producteurs français (Marc Dorcel, JTC Video) et internationaux (Evil Angel, 21 Sextury), tournant à Budapest pour 21 Sextury. Ses performances lui valent le surnom de « French Anal Queen » dans la presse spécialisée, avec des films comme Anal Gaping Sluts (2011) ou Bound Gangbangs (2012) qui deviennent emblématiques.
Reconversion et vie après le X
En 2013, Angell Summers annonce sa retraite via son blog et se reconvertit en coach en sexualité. Elle signe des chroniques sur des sites comme Le Plus Obs et intervient dans des podcasts sur l’éducation sexuelle. Cette transition s’accompagne d’une volonté affichée de « déstigmatiser le plaisir féminin« . Elle déclare dans une interview : « Le X m’a appris la technicité, mais aujourd’hui, j’enseigne l’intimité » 1. En 2016, elle participe même à l’émission Top Gear France, montrant son anculture pop.
Films célèbres et collaborations marquantes
Angell Summers a tourné sous la direction de réalisateurs influents :
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Christophe Clark (French Angels, 2008)
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Alain Payet (Section disciplinaire, 2008)
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John B. Root (Montre-moi du rose, 2009)
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Fabien Lafait (Le Bal des hardeuses, 2009)
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Son film le plus connu est Education perverse à la française (2013, Max Antoine), une satire coquine du système éducatif français où elle incarne une professeure aux méthodes… particulières. Elle y déploie tout son répertoire : domination, scènes anales et jeux de rôle.
Synopsis de « Education perverse à la française »
Dans Education perverse à la française, Angell Summers incarne Mademoiselle Dubois, une enseignante dans un lycée huppé qui utilise des méthodes pédagogiques très alternatives. L’intrigue débute lorsqu’elle découvre que ses élèves, pourtant brillants, manquent cruellement de confiance en eux. Convaincue que l’épanouissement sexuel est la clé de la réussite académique, elle organise des séances de tutorat particulières : cours de anatomie pratique, travaux dirigés sur le orgasme féminin, et devoirs sur la communication érotique.
Le film culmine avec une scène de rallye sexuel dans la bibliothèque de l’établissement, où les élèves doivent résoudre des énigmes impliquant des accessoires coquins (godems, cordes, boules). Angell Summers y livre une performance mémorable en enchaînant les scènes avec plusieurs étudiants, dont une double pénétration sous l’œil complice d’un buste de Victor Hugo. Le tout est mis en scène par Max Antoine avec un humour typiquement français, mêlant absurdité et érotisme cru. Ce film résume l’essence de sa carrière : technique hardcore mais toujours avec une touche de ludisme.
Vie privée et image dans le milieu du X
Peu d’informations filtrent sur sa vie privée, mais on sait qu’elle a toujours refusé de dévoiler son vrai nom pour « préserver sa famille ». Ses tatouages (cuisse droite, bras gauche) sont souvent interprétés comme des symboles de sa transition : une rose pour sa période glamour, un compas pour sa reconversion vers quelque chose de plus « structuré ». Dans le milieu, elle était perçue comme professionnelle et exigeante : « Angell n’improvisait jamais. Elle savait exactement ce qu’elle voulait et comment l’obtenir », témoigne le réalisateur Fabien Lafait.
Spécialités : Le génie anal d’Angell Summers
Angell Summers a élevé la scène anale au rang d’art martial érotique. Son secret ? Un contrôle pelvien exceptionnel et une préparation rigoureuse (diète, étirements) qui lui permettaient d’enchaîner les pénétrations sans inconfort. Dans Buttman’s Stretch Class 12 (2012), elle réalise un gaping anal (ouverture du sphincter) qui devient viral, montrant sa capacité à repousser les limites anatomiques. Mais au-delà de la technique, elle insufflait à ces scènes une dimension théâtrale : dans Dan Quichotte et les femmes (2011), elle incarne une Dulcinée lubrique qui « sauve » Don Quichotte de sa chasteté par une séance anale endiablée, mêlant humour et passion. Sa spécialité incluait aussi le A2M (Ass to Mouth), pratique controversée qu’elle assumait pleinement : « C’est comme goûter son propre plat : si c’est bien préparé, pourquoi se priver ? ».
Partenaires de tournage : Duos mémorables
Avec les hommes, elle formait des duos explosifs :
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Rocco Siffredi dans Bottoms Up (2012) : leur scène anal fut qualifiée de « ballet violent » par la critique.
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Tony Carrera dans Popaul Emploi (2011) : leur chimie comique était palpable.
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Côté femmes, ses collaborations avec Liza del Sierra (Liza aime Angell Summers, 2013) et Anissa Kate furent remarquées pour leur tendresse érotique. Avec Penelope Tiger dans Sexe d’or (2010), elles improvisèrent un duo lesbien sous la pluie artificielle d’un studio, scène devenue culte pour son esthétique rainurée.
Porno Fiction : Imaginons Angell Summers aujourd’hui
Angell Summers sur Echange Nude sur Telegram
Si Angell Summers avait investi Telegram aujourd’hui, elle n’aurait pas simplement partagé des nudes. Elle aurait créé un écosystème érotique où l’intimité se mêle à l’expertise. Pour 50€ mensuels, ses abonnés accéderaient à un canal privé où elle publierait des photos thématiques : « Lundi Anal » avec des tutoriels visuels sur la préparation, « Jeu-di Sextoy » où elle testerait en live des nouveautés, et « Vendredi Confession » avec des stories vocales racontant ses anecdotes de tournage. Mais le vrai luxe serait les échanges en DM : pour 100€, elle enverrait une photo personalisée avec le prénom de l’abonné écrit sur sa cuisse, accompagnée d’un conseil sexuel comme « Thomas, n’oublie pas que le clitoris a la sensibilité d’une rose : caresse-le, ne le pince pas. » Son approche serait pédagogique et sensuelle, transformant le nude en outil d’émancipation sexuelle.
Angell Summers en Cam Girl montre sa belle plastique
Sur une plateforme comme Streamate, Angell Summers recréerait l’ambiance d’un studio X avec le confort digital. Ses shows dureraient 20 minutes et coûteraient 10 tokens/minute, mais avec une mise en scène soignée : fond noir, éclairage doré, et musique lounge. Elle ne se contenterait pas de se caresser : elle commenterait ses propres gestes comme une maîtresse de cérémonie. « Regardez comment je contracte mes muscles pelviens pour amplifier l’orgasme… Maintenant, imaginez cette technique sur vous. » Elle lancerait des défis aux viewers : « Atteignons ensemble les 500 tokens pour que je passe au gode ceinture rose ! » Et pour les généreux (1000 tokens), elle réserverait des séances privées où elle mimerait ses scènes cultes, comme la double pénétration de Bound Gangbangs avec des toys, en expliquant comment gérer l’intensité sans douleur. Sa plastique ne serait plus un objet de consommation, mais un guide interactif vers le plaisir.
Exhib sur OnlyFans : Maîtresse virtuelle
Si Angell Summers avait créé un OnlyFans, elle en aurait fait un laboratoire du plaisir. Pas de contenu brut, mais des mises en scène thématiques : tutorials sur les sex-toys, défis masturbatoires avec notation des abonnés, ou reenactment de ses scènes mythiques avec filtres vintage. Son abonnement coûterait 49,99€/mois mais inclurait des lives où elle commenterait des extraits de films X avec l’œil expert de la coach. « Regardez comment elle cambre le dos : c’est beau, mais techniquement risqué » .
Échanges sur MYM : Intimité premium
Sur MYM, elle proposerait des forfaits à la carte :
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50€ : Une vocalote personalisée avec conseils pour prolonger l’orgasme.
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200€ : Une séance de coaching vidéo où elle analyserait les pratiques de l’abonné via un flux crypté.
Le tout avec sa signature : un mix de bienveillance et de directivité qui ferait frémir d’anticipation.
Interview imaginaire d’Angell Summers
De la Scène à l’Âme : Angell Summers se Livre Sans Filtre
Q1 : Angell, après toutes ces années, comment regardes-tu tes débuts dans le X ?
R : « C’est un mélange de tendresse et d’étonnement. Quand j’ai commencé en 2008, j’étais une jeune femme qui découvrait son pouvoir érotique. Le X m’a offert un terrain de jeu extraordinaire pour explorer cela. Je me souviens de ma première scène avec Christian Lavil : j’étais à la fois terrifiée et excitée. Terrifiée par le jugement, excitée par la liberté. Ce qui me frappe aujourd’hui, c’est à quel point l’industrie a changé. À l’époque, les tournages duraient parfois 12 heures, avec de véritables répétitions. On nous apprenait à placer les lumières, à gérer nos expressions faciales. C’était un métier, avec ses codes et sa technicité. Je ne regrette rien, car chaque scène m’a appris quelque chose sur le désir humain. »
Q2 : Tu as tourné des scènes très hardcore. Comment gérais-tu la frontière entre performance et plaisir ?
R : « Excellente question ! Beaucoup imaginent que tout est simulé, mais la magie opère justement quand le plaisir devient authentique. Pour les scènes anales particulièrement, j’avais développé une préparation rigoureuse : diète 48h avant, étirements pelviens, et surtout un dialogue constant avec le partenaire. Avec Rocco Siffredi sur ‘Bottoms Up’, nous avons passé 30 minutes à discuter des angles, de la pression à exercer, des signaux non-verbaux. Le vrai secret ? Écouter son corps comme un instrument de musique. Il y avait des moments où je devais ‘faire semblant’ pour des raisons techniques – une crampe, une fatigue – mais jamais au détriment de l’authenticité. Le public sent quand c’est faux. Ma spécialité était justement de transformer la performance technique en expérience sensuelle. Par exemple, lors des gangbangs, je fermais les yeux et me concentrais sur les différentes énergies masculines autour de moi. Chaque partenaire apportait une vibration unique. »
Q3 : Quel a été ton tournage le plus difficile ?
R : « Sans hésiter ‘Bound Gangbangs 4’ en 2012. Non pas à cause des actes en eux-mêmes, mais des conditions physiques. Nous tournions dans un entrepôt non chauffé en hiver, avec des cordes qui me sciaient littéralement la peau. À la 8e heure, j’ai failli abandonner. Mais il y avait une telle énergie collective… Le réalisateur a finalement modifié les positions pour me soulager. Cette expérience m’a appris l’importance du respect des limites. Aujourd’hui, je vois des jeunes filles qui acceptent n’importe quoi par pression économique. Cela me brise le cœur. Le X devrait toujours être un choix éclairé, jamais une soumission. »
Q4 : Comment as-tu vécu ta reconversion ?
R : « Comme une renaissance douloureuse mais nécessaire. Imaginez : après des années à être ‘l’objet’ du désir, je devais devenir ‘sujet’ de mon propre parcours. Les premiers mois ont été difficiles : beaucoup me cantonnaient à mon image pornographique. J’ai dû prouver ma légitimité en étudiant la sexologie, en passant des certifications. Mon expérience pratique est devenue un atout : quand j’explique l’anatomie du plaisir anal, je sais de quoi je parle ! Mais le plus beau a été de découvrir que je pouvais toucher les gens autrement. Une femme m’a écrit récemment : ‘Grâce à vos conseils, j’ai osé parler de mes fantasmes à mon mari après 20 ans de silence.’ Cela vaut tous les Hot d’Or du monde. »
Q5 : Que penses-tu de l’évolution du X avec les plates-formes comme OnlyFans ?
R : « C’est une révolution ambivalente. D’un côté, formidable démocratisation : les créateurs contrôlent leur image et leurs revenus. De l’autre, un marché saturé où beaucoup s’improvisent professionnels sans formation. Le problème n’est pas éthique mais technique : faire du bon contenu érotique demande des compétences spécifiques – lumière, montage, communication non-verbale. Je vois des jeunes filles qui se blessent avec des toys inadaptés par méconnaissance. L’idéal serait un hybride : l’autonomie des nouvelles plates-formes avec l’expertise technique de l’ancienne industrie. D’ailleurs, je coache certaines créatrices OnlyFans sur ces aspects ! »
Q6 : Un conseil pour les couples qui souhaitent pimenter leur vie sexuelle ?
R : « Commencez par parler sans jugement. La plupart des bloches viennent de non-dits. Organisez des ‘soirées fantasmes’ où chacun note secrètement 3 envies sur un papier. Mélangez dans un bol et piochez-en une au hasard. Cela désacralise la demande. Ensuite, investissez dans de bons outils : un lubrifiant qualité médicale (je recommande Swiss Navy), un petit vibrateur même pour les hétéros, et des bougies pour l’ambiance. Mais surtout, rappelez-vous que la sexualité est un voyage, pas une destination. Certains de mes clients ont mis 6 mois à oser certaines pratiques. L’important est la progression, pas la performance. »
Imaginons les Conseils sexuels que pourraient donner Angell Summers
Les Conseils Sexuels d’Angell Summers : De la Technique à l’Âme
Plaisir Anal : L’Art du Voyage Sensoriel
« Beaucoup me demandent des ‘trucs’ pour l’anal, mais c’est une philosophie bien plus qu’une technique. D’abord, oubliez la performance hollywoodienne : le plaisir anal commence dans la tête, par un lâcher-prise mental. Préparation pratique : investissez dans un kit de plugs de taille progressive (je recommande les sets en silicone médical). Entraînez-vous seule d’abord, 10 minutes par jour, avec beaucoup de lubrifiant à base d’eau. La respiration est cruciale : inspirez lors de la pénétration, expirez lors du retrait. Mais le vrai secret est érotique : intégrez l’anal à votre préliminaires sans en faire un objectif. Massez le périnée, caressez les fesses pendant la fellation, utilisez un vibreur sur le clitoris pendant la stimulation anale. Lorsque le corps est déjà en plaisir, l’ouverture se fait naturellement. Pour les receveurs, concentrez-vous sur les sensations profondes : la prostate pour les hommes, les vibrations internes pour les femmes. Pour les donneurs, privilégiez les mouvements lents et circulaires plutôt que les va-et-vient mécaniques. Et surtout, créez un signal d’arrêt non-verbal : trois tapes signifient ‘ralentis’, deux tapes ‘stop’. La confiance naît de la sécurité. »
Jouissance Féminine : Au-Delà du Clitoris
« On réduit trop souvent le plaisir féminine au clitoris, comme si nous étions des interrupteurs à un bouton ! Explorez plutôt la cartographie complete : le col de l’utérus (sensibilité cyclique), le point U (entre vagin et urètre), les nerfs pudendaux internes. Mon exercice favori : l’orgasme par méditation sensorielle. Allongée, partenaire ou seule, parcourez votre corps mentalement pendant 20 minutes, des orteils au cuir chevelu, en identifiant les zones de tension et de plaisir. Beaucoup de femmes découvrent ainsi des erogènes zones insoupçonnées : derrière les genoux, la nuque, les poignets. Pour les couples, je recommande le ‘jeu du serpent’ : l’un guide l’autre les yeux bandés avec une plume ou un glaçon sur tout le corps, en notant les réactions. Vous découvrirez que la peau est notre plus grand organe sexuel ! »
BDSM Moderne : Jeu de Rôle et Sécurité
« Le BDSM n’est pas nécessairement violent – c’est du théâtre érotique avec des règles strictes. Commencez par établir un safe word mais aussi un ‘mot de réconfort’ pour quand c’est trop intense mais qu’on ne veut pas arrêter. Les accessoires : cordes en coton (never nylon), menottes à serrage réglable. Pour la domination psychologique, travaillez le langage : ‘Tu m’appartiens pour les 20 prochaines minutes’ fonctionne mieux qu’une fessée mal donnée. Et surtout, prévoyez toujours le aftercare : 30 minutes de câlins, de discussion et de réhydratation après une scène intense. C’est souvent là que naît la véritable intimité. »
Synchronicité Orgasunique
« Arrêtons de chercher l’orgasme simultané ! C’est un mythe qui crée plus de frustration que de plaisir. Préférez l’orgasme en relais : l’un se concentre sur le plaisir de l’autre sans pression de performance. Utilisez des toys pour équilibrer les différences d’excitation : un vibreur anneau pour prolonger l’érection masculine pendant que la femme atteint l’orgasme oralement. Souvenez-vous : l’orgasme est le point culminant du voyage, pas le billet de train obligatoire. »
Liens utiles
• Angell Summers chez Marc Dorcel
• Les films de Angell sur Xvidéos
• Tout Angell Summers sur Xhamster
• Angell Summers parle de sa nouvelle vie dans le journal l’Echo Républicain